• J'ai repensé à toutes les hommes que j'avais connues, avec qui j'avais couché, ou même que j'avais seulement désirés.
    Je me suis dit qu'ils étaient comme des poupées russes: on est curieux de savoir qui sera le dernier...

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  • "Envisagés, imaginés, rêvés en 2003, c'est finalement en 2006 que les Signes du K-Haut entreront en scène à la Coopérative de Mai. Ephémère, expérimental, évènement... telle sera la teneur de ce projet pas comme les autres. Expérience inédite, tant du point de vue des artistes que du public, ce projet met en contact trois jeunes groupes auvergnats accompagnés par la Coopérative de Mai - Kaolin, Kafka et Kunamaka -, aux personnalités musicales bien distinctes, avec deux artistes confirmés et reconnus : Vincent Ségal et Cyril Atef, qui composent le duo Bumcello et accompagnent le chanteur –M-. Au total, les Signes du K-Haut réuniront un orchestre improbable de 16 musiciens, dont 4 batteurs, 5 guitaristes, 4 bassistes, 2 violoncellistes et 1 pianiste. Pas véritablement masterclass, pas totalement jam session, laboratoire certainement, les contours et l'orientation des Signes du K-Haut seront définis en direct, au gré des imaginations, des sensibilités et des complémentarités en présence. Le tout évoluera en lien avec la proximité et les réactions du public, convié lui aussi au rendez-vous."

    24h après ce concert majestueux, l'osmose de cette soirée ne s'est toujours pas envolée. Seule, dans cette Coopé tellement intimiste, une fosse accaparée pour l'occasion par les musiciens, quelques tapis, aucune façade, quelques centaines de personnes invités à cette soirée hors du commun. "Comme à la maison", car nous étions chez nous, certains sur scène, d'autres allongés sur ces tapis, mélangés...Le maître mot de ce concert a été l'improvisation, le mélange d'une compo de Kunamaka, suivie d'une impro à la rache par tel ou tel musiciens, juste avant une partie orchestrée, ou une impro de 1min30 à 4 batteries...Enormisisme...Un sans faute...L'un des plus beaux concerts que j'ai vu.

    Félicitation aux 3 K : Kafka, Kaolin & Kunamaka, ainsi qu'aux sublémisismes Vincent Ségal & Cyril Atef de Bumcello.


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  • Quand le monde vous oublie, quand vous êtes seule face à votre propre solitude, quand vous avez l'impression d'être transparent à vous même, vous réagissez comment ?

    Effectivement chacun a différentes manières de réagir face à ces sensations de vide, d'oublie. Certains noieront leur chagrin dans l'alcool, d'autre iront faire un footing, bcp oublieront tout ceci dans un pot de glace devant un dvd. Et bien moi, j'ai plusieurs recours; régulièrement, je fais une crise musicale, je file à la fnac et je m'achète un ou deux albums, parfois plus, aujourd'hui ça a été 6! :s  (ah oui, petite extrapolation, alors j'ai acheté :
    - l'album de 'Joseph d'Anvers'
    - un d'Arsenal'
    -
     un de 'Mode'
    -
    un de 'Oddjob Koyo'
    -
    une compil 'Paris Café Music' 
    - un album de 'Matthew Shipp'  )

    Comme je disais, j'ai différentes réactions face à la solitude, mais toujours un point commun: la marche! Quand je ne vais pas bien, j'ai systématiquement besoin de marcher, ou de courir. Alors régulièrement quand je suis extrement énervé je vais courir ça me calme. Sinon j'adore flaner seule, marcher, marcher, sans savoir exactement où je vais, sans avoir de but. J'aime voir la vie défilée sous mes yeux, observer les gens vivre, me sentir extérieure à cette vie, simplement observatrice. Nous n'ouvrons pas assez les yeux face à ce monde, à cette vie qui se déroule sous nos yeux et dont nous sommes les acteurs; parfois il est bon de regarder notre vie comme un film. Enfin bon, là j'estrapole encore une fois.

    Mes autres réactions? ah oui, mon Champion. Effectivement, j'adore aller au Champion du centre ville avant la fermeture, et encore une fois observer tout ces gens. Trainer entre tous ces rayons, recroiser des personnes qu'on connait (parfois on a de bonnes surprises ;) et en rencontrer d'autres. ENfin j'adore ce Champion! Paradoxal, je sais! Tiens ça me fait penser à qqch; un jour, l'être que j'aime a prononcé le plus beau compliment que personne ne m'a jamais dit 'Tu es un paradoxe à toi toute seule'...Je crois qu'on ne peut pas mieux me définir. Ah tu me manques...Enfin bon, justement j'écris pour oublier que tu me manque, car c'est également qqch que j'aime faire quand je suis mal. J'écris, j'écris bcp, ça me vide la tête, enfin non, je vide ce qu'il y a dans ma tête sur les touches d'un clavier. Alors, vous êtes certainement en train de vous dire que je vous raconte des stupidités énormisismes, eh bien, ce n'est pas faux, mais ça me vide la tête, de parler de banalités. Comme ça, comme ça vient, à l'état brut, ça fait du bien, je crois même qu'on peut y trouver un certain plaisir. Cela doit venir de mon égocentrisme démesurer, ce besoin de parler de sois même, mais je pense que ces mots sont une thérapie, un bon moyen de me connaitre moi même, ça m'évite bien des séances de psy je présume.

    Ah je mécoute le volume 1 de la 'Musique de Paris Dernière', une compilation réalisée en plusieurs volumes par Béatrice Ardisson, pas mal du tout, ce ne sont que des reprises, très diverses, dans des styles complètement foisonnants. ça me fait penser qu'il y aura bientot le concert de Pink Martini, en parlant de concert, je vais aller voir samedi "Les signes du K-Haut" à la coopé, une soirée où se réunisse Bumcello, Kaolin, Kunamaka et Kafka, nouveau concept très intimiste, je sens qu'il va y avoir du bon son!

    Ouh, je me suis bien vidée l'esprit, ça fait du bien, sur ce, je file écouter mon tas d'albums. Je précise qu'il doit y avoir bcp de fautes d'orthographe ou/et de style dans ce récit, mais j'ai une énorme flème de me relire...
    Bonne soirée à vous tous !


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  • Au milieu de la forêt ethno-electro, dans laquelle les platines et les djs règnent en maître, subsistent encore deux êtres exceptionnels. Leur originalité ? Avoir redoré le blason de ce que l'on appelle "l'improvisation". Lorsqu'ils montent sur scène, ils ne savent pas ce qu'ils vont jouer, ils se laissent porter par leur humeur et surtout par le public. Place au spectacle!

    Au royaume du "100% impro", le premier de ces musiciens d'une race non encore corrompue par le marketing et la "notoriété-acquise-sans-aucun-talent" se prénomme Cyril Atef, dit "Bum", batteur et percussionniste émérite.
    Le second génie composant ce duo déjanté se prénomme Vincent Ségal, dit "Cello", car il joue du violoncelle d'une façon surprenante...

    Paradoxalement, après avoir enregistré une foule de projet dans leur studio (surnommé le "laboratoire de groove universel"), parmi lesquels l'excellentissime "Nude for love" sorti en 2002, c'est la première fois que le groupe Bumcello sort un live, un double en plus ! Une face "Bum" et une "Cello". Deux faces pour un double talent.
    En ce début d'année, nous avons vu apparaître dans les bacs de notre disquaire fétiche, le tout dernier album du duo, "Animal Sophistiqué", un petit chef d'oeuvre du genre avec un morceau hors pair, "Dalila", à ne surtout pas rater!!


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  • Les notes de son piano me manquent,
    Les tartines de nutella qu'il me faisait me manquent,
    Les étoiles que l'on regardait ensemble, au couché, me manquent,
    La douceur de ses cheveux me manque,
    La surprise de sa venue me manque,
    La fatigue durant les retours de Creuse me manquent,
    Les batailles de mousse à raser me manque,
    Les courses à Auchan à la fermeture me manquent,
    Les maxi pains au chocolat me manquent,
    Les sursauts de ses rêves agités me manquent,
    Les longs trajets en bus pour venir le voir me manquent,
    Son être, son âme, son coeur et son corps me manquent,
    L'ours me manque,
    Tu me manques...Je tiens tant à ton être.


    Ce soir, je me sens tellement vide sans toi, sans nous, dure est la réalité de la vie, mais chaque instant est bénéfique et nous permet d'avancer. Que nous réserve les années ? Qui serait le dire ? M'aimes tu toujours ? Notre relation, enfin la beauté de nos instants est incomparable et inéqualable. La vie, ou le destin, nous mets face à une épreuve, que ferais tu si tu étais à ma place? comment réagirais tu ? J'étale ces fichus mots qui n'ont aucun sens, j'ai l'impression de laver mon linge sale en publique, de me poser des questions complètement inutiles vu que j'ai la plupart des réponses. Je sais déjà comment tu réagirais si tu étais à ma plce, on se connait tant, quoique l'on dise, même si l'on s'est éloigné, nous connaissons tant nos réactions. Qui te connait mieu que moi ? Je doute qu'il y ai qqn; ai je la certitude de ne pas douter de notre relation ? Oui, non, enifn je m'embrouille, je connais tellement de chose dessus, enfin non, enfin je ne sais plus vraiment, mais une chose est sur, je connais ta réaction. Celle ci, oui celle que je déteste tant, ton indifférence apparente. Nous avons appris à nous connaitre dans ttes les situations mêmes les plus hostiles. Mais une question me trotte dans la tête, la vie arrivera-t-elle a nous séparer ? J'en doute, enfin j'ai quelques certitudes, tu dois être le premier et le dernier, ne l'oublis pas, tu me l'as promis...


     


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