• Pourquoi ? Pourquoi donc, passons nous des jours, des semaines, des mois, voir des années à séduire une personne qui nous omnibule, et nous finissons par nous en lasser quand nous arrivons finalement à avoir ce que nous souhaitions. Le désir de l'autre s'estomperait-il quand la luxure prend place ?

    L'Homme séduit son prochain ds le seul but de découvrir l'intimité physique et mental de l'autre, alors pourquoi dc, n'éprouvons nous pas forcement le désir ou l'envie d'entretenir une rélation plus poussée qd le voile de l'être tant désiré tombe enfin ?

    Le sex serait-il, au fond, une barrière à la découverte psychique de l'être aimé ? Pourtant n'est-il pas, au contraire, la limite qui marque l'ouverture de l'autre à vous ?

    Pourtant, n'est-il pas arrivé à tout le monde de recroiser un ex d'un soir, qui connait votre corp sous toutes les coutures, à qui vous vous êtes livrés sans craintes, et de ne même pas lui porter un signe d'intention, comme à un étranger. Le sex serait-il, dans ce cas là, une action impersonnel qui n'implique aucun devoir de mémoire ?

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  • Ne vous êtes vous jamais demandé si au fond vous n'étiez pas une simple contre-façon de vous même ?

    Aujourd'hui, en étudiant un sonnet de Du Bellay, Les Regrès, où il dénonce toute l'absurdie et la servilité des courtisans des plus grands dirigeants du XVIe siècle, une pensée me vient en tête. Si des hommes peuvent se réduire à un comportement animal en imitant leur maître et en abnégant toute personnalité, est ce que nous aussi, nous ne pourions pas être des pales copies de nous même?
    Est ce que, comme "ces vieux singues de Cour", nous n'abandonnons pas tout signe de distinction, pour adopter un comportement mécanique et prévisible face à diverses situations?
    La socièté nous aurait-elle fait opter pour une hypocrisie générale qui nous mets en scène chaque jours à travers un rôle de parasyte qui se disperssent selon les moeurs actuelles ? Je sais pas ... je doute ...


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  • Echange avec ce délicieu connard

    : " Bonsoir jeune homme, je ne peux vous effacer, vous hantez mes pensées, je sais que je ne devrais plus vous contacter mais c'est plus fort que moi. Tu es sujet à mes plus profonds fantasmes et je n'ai qu'une envie c'est d'assouvir ce désir. J'espère que monsieur est près à répondre à cette proposition indécente. "

    Monsieur

    : " Votre message me trouble. Mais au delà d'un fantasme j'ai certains principes auxquels je ne peux déroger. Vous me voyez fort flatté par votre propostion mais je ne puis accepter. Je vous embrasse."

    : " Je comprends tout à fait votre réaction et je conçois fort bien vos principes mais je voulais que vous sachiez ce que j'éprouve à votre égard. En espérant qu'un jour, monsieur n'est plus aucun scrupules à assouvir le fantasme de mademoiselle. Ma proposition est valable ad vitam eternam ;) je t'embrasse "

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  • Ou bien l'art et la manière de convaincre et de persuader

    Une huître, une femme, le sexe, et la sagesse

    Le rapport aucun, juste des mots enfilés à la suite, déballés, crachés sur un clavier, juste histoire d'exprimer quelquechose

    Ornithoringues, labrador, décadence, élongation, cargaison, conformisme, danois, escarmouche, bonifier, oblitérer, élasticité

    Juste besoin d'écrire, d'exprimer, d'exhaler, de cracher parce qu'on arrive pas à crier ! Parce que parfois la vie nous mets ds des situations où l'on n'a pas d'autre choix que de se mettre ds un rôle théatrale, où tout n'est qu'illution et d'exception. Parce qu'on doit sourir au-lieu qu'on a envie de crier, de pleurer, d'hurler.

    Mort ta main pour ne pas hurler...


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  • Ressentir des émotions, c'est quoi au fond?

    On peut ressentir du désir pour un fondant au chocolat en vitrine d'une boulangerie, et on ressentira également du désir pour un beau brun ténébreux o yeux bleus passant à l'angle de la rue St Esprit, pourtant peut-on qualifier ces deux émotions comme un seul même désir ?
    Le beau brun ténébreux ne serait, dans ce cas là, plus qu'une gourmandise sur laquelle on craque par pulsion qd il n'y a plus de fondant au chocolat ?
    Peut-on, si on considère le beau brun comme une gourmandise, abusé du chocolat comme des hommes ?

    Vous n'avez pas honte de comparer un magnifique beau brun ténébreux o yeux bleus, croisé à l'angle de la rue St Esprit, à du CHOCOLAT ?


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