Pourquoi ? Pourquoi donc, passons nous des jours, des semaines, des mois, voir des années à séduire une personne qui nous omnibule, et nous finissons par nous en lasser quand nous arrivons finalement à avoir ce que nous souhaitions. Le désir de l'autre s'estomperait-il quand la luxure prend place ?
L'Homme séduit son prochain ds le seul but de découvrir l'intimité physique et mental de l'autre, alors pourquoi dc, n'éprouvons nous pas forcement le désir ou l'envie d'entretenir une rélation plus poussée qd le voile de l'être tant désiré tombe enfin ?
Le sex serait-il, au fond, une barrière à la découverte psychique de l'être aimé ? Pourtant n'est-il pas, au contraire, la limite qui marque l'ouverture de l'autre à vous ?
Pourtant, n'est-il pas arrivé à tout le monde de recroiser un ex d'un soir, qui connait votre corp sous toutes les coutures, à qui vous vous êtes livrés sans craintes, et de ne même pas lui porter un signe d'intention, comme à un étranger. Le sex serait-il, dans ce cas là, une action impersonnel qui n'implique aucun devoir de mémoire ?
En m'étudiant moi même, et mes amies, j'ai découvert qu'il y avait deux sortes d'amoureuse : celles qui poursuivent un rêve, arfois pendant des années, et qui, une fois exaucées, se lasse de l'autre en quelques semaines, voire quelques jours (malheureusement, je fais partie de cette catégorie, je pense que c'est parce que je préfère mes rêves à la réalité, à moi ça me parait evident mais il y a des gens qui ne rêvent pas) Et les presévérantes, celles qui sortent avec quelqu'un parce qu'il leur plait, modérément, et qui, à force d'intimité, en viennent à l'aimer. Celles-là ont du mal à rester seules, et ça leur fait mal quand on les jette. Mais elles sont cabables d'être heureuses...