• 2.1

    Petite Lù est très contente car elle a enfin du bon son! Telepopmusik dans les oreilles...Merci ma TiTe TêTe, on va bien en profiter tous les deux!

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  • Une pensée pour Elisa, Charlotte & Charlène qui reconnaitront parfaitement les sensations désagréables provoquées à la vue d'un champ de maïs...

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  • 03:27 - Je pense à lui. A cet être qui me donne envie d'avancer, de faire quelque chose de ma vie. Envie de vivre. Envie de rêver. Envie d'aimer

    - Cet être qui me rend belle, qui me rend moi, qui me fait sourir, rire, vivre.
    - Cet être prêt à me décrocher 'la rue de l'Ange'.
    - Cet être capable de venir à 5h du matin pour dormir dans mes bras.
    - Cet être aux milliers d'attentions.
    - Cet être qui me prépare de délicieux petits déjeuners.
    - Cet être avec qui je partage tant d'instants parfaits.
    - Celui qui m'attendra demain à la gare à 10:31...je n'aurais pas fini d'énumérer tout ces instants, tout ce bonheur; cet être est tout simplement un très beau cadeau de la vie, une surprise merveilleuse qui me donne envie de croquer la vie comme on croque une grosse barbe à papa...


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  • Celui qui regarde du dehors à travers une fenêtre ouverte, ne voit jamais autant de choses que celui qui regarde une fenêtre fermée. Il n'est pas d'objet plus profond, plus mystérieux, plus fécond, plus ténébreux, plus éblouissant qu'une fenêtre éclairée d'une chandelle. Ce qu'on peut voir au soleil est toujours moins intéressant que ce qui se passe derrière une vitre. Dans ce trou noir ou lumineux vit la vie, rêve la vie, souffre la vie.

    Par-delà des vagues de toits, j'aperçois une femme mûre, ridée déjà, pauvre, toujours penchée sur quelque chose, et qui ne sort jamais. Avec son visage, avec son vêtement, avec son geste, avec presque rien, j'ai refait l'histoire de cette femme, ou plutôt sa légende, et quelquefois je me la raconte à moi-même en pleurant.

    Si c'eût été un pauvre vieux homme, j'aurais refait la sienne tout aussi aisément.

    Et je me couche, fier d'avoir vécu et souffert dans d'autres que moi-même.

    Peut-être me direz-vous: "Es-tu sûr que cette légende soit la vraie?" Qu'importe ce que peut être la réalité placée hors de moi, si elle m'a aidé à vivre, à sentir que je suis et ce que je suis?

     Charles Baudelaire, Les Fenêtres, Poèmes en prose.


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  • Sur les chemins de la bohème/J'ai croisé le bout du monde/Les petits matins au café crème où je taxais ma première blonde/Avant de partir le pouce en l'air à l'autre bout du bout du monde/Avant de partir le pouce en l'air à l'autre bout du bout de monde/Sur les chemins de la bohème/J'ai croisé la neige et le soleil/Une fille qui m'a dit je t'aime/Un soir où elle n'avait pas  sommeil/Avant de partir le coeur en l'air à l'autre bout du bout du monde/Avant de partir le coeur en l'air à l'autre bout du bout du monde/Sur les chemins de la bohème/J'ai parlé des langues étrangères/Mes pas pourssuivaient ta bohème/Je me suis lavé à l'eau de mer/Avant de chanter des mots en l'air/Sur des musiques vagabondes/Avant de chanter des mots en l'air/Sur des musiques vagabondes/Sur les chemins de la bohème/On m'a chouravé ma guitare/Un vieil homme m'a donné la sienne/En me racontant son histoire/et je lui dédierai cet air à l'autre bout du bout du monde/et je le dédierais cet air à l'autre bout du bout du monde/La Rue Ketanou/


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