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Un magnifique texte... qui m'a ému, qui m'a fait penser à elle...elle qui me manque parfois...celle sans qui je ne serais pas là, et qui nous a quitté bien trop tôt...rêve, rêve petite étoile, endort toi et vole, vole vers le paradis...
L'amour ne disparait jamais,
La mort n'est rien,
Je suis seulement passé ds la piéce d'à coté,
je suis moi,vous etes vous,
Ce que nous étions les uns pour les autres
Nous le sommes toujours,
Donnez moi le nom que vous m'avez toujours donné,
Parlez moi comme vs l'avez toujours fait...
N'employez pas de ton solennel ou triste,
Continuez a rire de ce qui nous faisait rire ensemble,
Priez,souriez,pensez a moi,
Priez pour moi..
Que mon nom soit prononcé a la maison,
Comme il l'a tjs été,
Sans emphase d'aucune sorte,
Sans une trace d'ombre..
La vie signifie ce qu'elle a tjs signifié,
Elle est ce qu'elle a toujours été ,
Le fil n'est pas coupé...
Pourquoi serais je endehors de votre pensée
Simplement parce que je suis hors de votre vue..
Je vous attends,
Je ne suis pas loin,
Juste de l'autre coté du chemin,
vous voyez:tout est bien...
Saint AugustinCe Sublime texte provient du blog de Marie Pierre, un être tellement authentique, pure et sincère...Un petit bijou sur terre. Prends soin de toi ma petite princesse...
http://myfairytale.skyblog.com/
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Envie compulssive d'un café crème dans un petit bar cosi, avec des flocons de neige à l'extérieur...
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Une montée de souvenirs à l'état brut me reviennent en tête...Un trop plein de douceur, une légère lumière, une chaleur ennivrante, des mélodies orgasmiques, un désir complet, le partage d'instants charnels tellement purs...avec lui, jeune homme de quelques moments parfaits. C'était il y a un an, déja une année, le temps passe plus vite que l'on ne veut bien le croire.
Je repense à cet être, à ce "coeur à prendre mais pas à vendre, à donner".
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Ne regarde pas les larmes qui coulent le long de mes joues
Tu n'y as pas droit!
Tu en es la cause et je veux oublier le plus vite possible
Qu'un jour, je suis tombée sous ton charme
Mais cela est bien fini car j'ai compris!
Il me faudra du temps
Mais grâce à lui, je deviendrai indifférente!
C'est le coeur lourd de chagrin que je m'en vais
Je ne me retournerai pas, ca me ferait trop mal
Petit à petit, je redeviendrai celle que j'étais
Avant de te croiser!
On m'avait prévenue
Mais je n'ai pas voulu y croire
Et j'ai préféré espérer
Malheureusement, ils avaient raison
Je suis trop naïve
Et bien que je dis que je ne retomberai plus
Dans le panneau, je sais que ca recommencera!Superbe texte écrit par bloody-tears: http://www.blogg.org/blog-18000.html#248490
Encore une fois, je me sens vide sans lui, j'essaye de l'oublier, je commence à y parvenir, mais chaque jour, une pensée me ramène à lui. Je ne peux que le remercier pour toutes ces fois où il m'a fait sourir, rire, pleurer & mourir de désir. Mais cet homme a également su me renforcer face à l'indifférence des sentiments, mais aussi faire évaporer un peu plus de ma naïveté...
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Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Tandis que Marilou s'amuse à faire des vol
Utes de sèches au menthol
Entre deux bulles de comic-strip
Tout en jouant avec le zip
De ses Levi's
Je lis le vice
Et je pense à Caroll Lewis.
Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Tandis que Marilou s'évertue à faire des vol
Utes de sèches au menthol
Entre deux bulles de comic-strip
Tout en jouant avec son zip
A entrebailler ses Levi's
Dans son regard absent et son iris
Absinthe dis-je je lis le vice
De baby doll
Et je pense à Lewis
Caroll.
Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Quand crachent les enceintes
De la sono lançant
Accord de quartes et de quintes
Tandis que Marilou s'esquinte
La santé s'éreinte
A s'envoyer en l'air...
Lorsqu'en un songe absurde
Marilou se résorbe
Que son coma l'absorbe
En pratiques obscures
Sa pupille est absente
Mais son iris absinthe
Sous ses gestes se teinte
D'extases sous-jacentes
A son regard le vice
Donne un côté salace
Un peu du bleu lavasse
De sa paire de Levi's
Et tandis qu'elle exhale
Un soupir au menthol
Ma débile mentale
Perdue en son exil
Physique et cérébral
Joue avec le métal
De son zip et l'atoll
De corail apparaît
Elle s'y coca-colle
Un doigt qui en arrêt
Au bord de la corolle
Est pris près du calice
Du vertige d'Alice
De Lewis Caroll.
Lorsqu'en songes obscurs
Marilou se résorbe
Que son coma l'absorbe
En des rêves absurdes
Sa pupille s'absente
Et son iris absinthe
Subrepticement se teinte
De plaisirs en attente
Perdue dans son exil
Physique et cérébral
Un à un elle exhale
Des soupirs fébriles
Parfumés au menthol
Ma débile mentale
Fais tinter le métal
De son zip et Narcisse
Elle pousse le vice
Dans la nuit bleue lavasse
De sa paire de Levi's
Arrivée au pubis
De son sexe corail
Ecartant la corolle
Prise au bord du calice
De vertigo Alice
S'enfonce jusqu'à l'os
Au pays des malices
De Lewis Caroll.
Pupille absente iris
Absinthe baby doll
Ecoute ses idoles
Jimi Hendrix Elvis
Presley T-Rex Alice
Cooper Lou Reed les Roll
Ing Stones elle en est folle
Là-dessus cette Narcisse
Se plonge avec délice
Dans la nuit bleu pétrole
De sa paire de Levi's
Elle arrive au pubis
Et très cool au menthol
Elle se self contrôle
Son petit orifice
Enfin poussant le vice
Jusqu'au bord du calice
D'un doigt sex-symbole
S'écartant la corolle
Sur fond de rock-and-roll
S'égare mon Alice
Au pays des malices
De Lewis Caroll.
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