• Enfin annoncé. Le 3 juillet 2006, le lundi 3 juillet 2006 s'annonce comme une journée hors du commun. Tadam, roulement de tambour (comme dirait My) se sera la sortie du 4e album de Muse! Nous serons à Sète, alors je proposerais de passer une soirée, sur la plage, dans ma petite crique préférée, avec notre Matthew dans les oreilles. Ah vivement cet été. Vivement l'année prochaine. Vivement notre petite retrouvaille o USA...
    Cet nouvel album implique une nouvelle tournée, des instants parfaits qui risquent d'être dure à vivre si ma My est loin. Dumoins, nous espérons avoir l'occasion de les voir ensemble aux States...Houston...San Antonio ? 

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  • Un petit bout de femme que j'aime beaucoup, et qui detient une place très chère dans mon coeur.
    Tant de souvenirs, de rires, de sourires, d'heures passées à ses côtés. Juste quelqu'un de bien, qui a fait un retour dans ma vie dernièrement. Casiment 2 ans sans nouvelles d'elle, et pourtant je n'ai cessé de repenser à ce petit être unique. Il n'y a pas d'hasard, il n'y a que des rendez vous...

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  • " Hippolyte, Ô ma soeur ! Tourne donc ton visage
    Toi, mon âme et mon coeur, mon tout et ma moitié,

    Tourne vers moi tes yeux pleins d'azur et d'étoiles !
    Pour un de ces regards charmant, baume divin,
    Des plaisirs plus obscurs, je lèverai les voiles,
    Et je t'endormirai dans un rêve sans fin ! "

                                                                  Baudelaire, Les Fleurs du mal.


    Cet être si charmant me tuera, pour un de ses sourires exquis, 
    Je venderai mon âme au diable.
    Lui, mon tout, mon être et ma moitié, 
    Je souhaiterai m'évanouir sur ses lèvres, et renaître sienne.
    Défaillir dans la douceur d'un rêve éternel, 
    Et m'étendre à jamais dans la bleuté de son regard délectable. 




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  • 1:27 - Je rentre enfin. J'ai taffé toute la soirée, c'est bon de se retrouver chez soit. La vie est endormie. Un souffle au milieu de ces deux âmes au pays des rêves. Malgrès tout, les heures défilent. Demain, oral : "En quoi les critiques musicales influencent-elles l'opinion du public?" Projet mené durant 6 long mois, expérience enrichissante, et projet abouti. Les nuits sont trop courtes. Surtout les miennes. Je sens que le réveille va être dure, 'Réveil matin, 15h, jme réveille comme une fleur...'(Tryo), et non, demain c'est 6:15 pour moi, en étant optimiste, je dirais donc 4h de sommeil. La nuit va être courte. Cela dit, je n'arrive pas à trouver le sommeil. Le marchand de sable est déjà passé, j'attend la prochaine tournée. Dc j'écris. Et je vais finir de me matter un épisode de NewPort Beach. En effet, série très attrayante, malgrès son côté 'American Dream'. J'ai faim. J'ai pas mangé ce soir. Rien de bien appétissant ds mon frigo. Norah Jones est ma seule compagnie durant cette longue nuit. 'Come away with me in the night...' La vie est étrangement attrayante. Tellements d'instants parfaits. Malgrès la fatigue, je savoure. C'est dure de quitter une journée. En effet, le sommeil provoque ce changement inévitable, de journée en journée. Jusqu'ici rien d'innormal, ok. Mais, ces moments passés tout au long d'une journée sont à jamais perdu dès que la nuit prend le dessus, et qu'un nouveau jour commence. Chaques instants qu'on vit sont éphèmères et ne pourront se renouveler. Ne vous est-il jamais arrivé de vous endormir en ayant peur que les faits que vous avez vécus puissent disparaître et ne jamais se renouveler ? Le réveil donne place au renouveau, mais le passé est dure à encaisser, à digérer, et à admettre. Laissez place au présent. 1:43 - La nuit est douce. Les âmes s'envolent, et le passé se range dans la boite à souvenir. Profitez.


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  • Un rêve. Serais je un songe ? Certainement. Celui du subconcient d'une demoiselle emprisonné par l'ombre du délicieu connard. Encore un rêve. Surprenant. Voici maintenant plusieurs jours que je ne pensais plus à lui, malgrès cela, Morphée m'a rappelé le souvenir de cet être si particulier à mes yeux.

    Une nuit, 5h, la vie était endormie, je m'égarais aux abords de chez lui, un interphone, plusieurs noms, dont un, qui me vient immédiatement à l'esprit. Son écriture était si marquante; Xonoro était son nom, Pierre Xonoro. Je le reconnu immédiatement. Une silhouette se fit remarquer, c'était lui, il m'avait surprise. Etrange, nos deux êtres dans la nuit noire des rues clermontoises. Le souffle coupé, le silence s'imposa, puis l'échange arriva. Il était actuellement seul, il avait quitté 'Dumbo' pour diverses raisons, il s'interrogait sur l'avenir qu'on pourrait avoir en commun...Mon portable sonnait, 'Donde estas, donde estas Yolanda?'. Ah Alizée m'appellait...Malheureusement ce n'était que mon réveil...

    En me remémorant ce rêve, je me souviens également d'un second rêve qui vient complèter celui ci. Sans parler de celui 'd'une couette à rayures et d'un balcon orienté sud-est'. Je me demande comment un être aussi éloigné de moi peut-il faire pour accaparer aussi bien mes pensées que mon subconcient? Comment réussir à l'oublier définitivement si je ne cesse de rêver de lui? Les rêves ne se contrôlent pasm malheureusement, aussi délicieux soient-ils, le réveil est dure...


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