• 22h23 - Clermont-Ferrand - Il PLeuT !

    Que c'est bon d'être au chaud, chez soit, quand dehors il pleut des cordes ! Sur ce, je vous laisse, je file dans mon bain. Bonne soirée à vous ! Et sortez votre parapluie !


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  • Je lui ai fais mes adieux...je me mets face à la réalité, je ferme la porte sur un doux rêve, je renonce à lui, enfin j'essaye, j'efface son numéro, promis, il n'entendra plus parler de moi, je le laisse tranquille...Juste envie qu'il sache que j'aurais tout donné pour lui. Je lui souhaite une très bonne continuation sur le long chemin du bonheur, en espérant qu'il prendra soin de lui, et qu'un jour, le destin le remettra sur ma route.

    Promis, j'avale la clé de la boîte à souvenir, ce souvenir tellement délicieu qui restera infiniement gravé à droite, au fond de mon coeur. Je t'ai tant aimé, je t'aime, et je t'aimerais pour l'éternité, en cachette...

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  • Je viens de comprendre le crime passionnel, ou plutôt d'en ressentir le besoin. J'ai toujours trouvé cela très absurde et paradoxale, d'admettre pouvoir faire du mal à l'être qu'on chérit le plus. Mais tout est rationnel et une fois de plus, tout s'explique simplement. C'est avant tout un état de survie. L'Homme est conçu dans le but de survivre par tout les moyens. Le crime passionnel n'est pas dans l'optique de faire du mal à l'autre, mais de se libérer sois même, pour éviter de pourir de l'interieur. Une réaction de pure d'égoïsme, qui permet de se libérer de cet autre qui ne voulait pas/plus de ce trop d'amour qu'on avait à lui offrir, par le seul fait de s'en débarasser physiquement, même si la douleur subsistera à l'intérieur, l'état physique sera anéantie. Ceci est également une forme de suicide moral, qui est une alternative entre son propre suicide antérieur cosait par des séquelles inguérissables que nous a provoqué notre autre, et entre la perdition physique de cet être tant aimé, pour notre propre libération.
    Ce qui signifie que la douleure que pourrait provoquer la perte physique de cet être est moins pénible à supporter, que la douleure morale que provoque cet autre par l'absence de sentiments.
    Ce soir, je serais capable de lui faire du mal...

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  • En ce jour de Toussaint, mon esprit est excessivement nostalgique, certains regrets me revienne en pleine face, dailleur tout chose à son explication, je m'exprime; régulièrement, on me répète, "mais Héloïse, je ne suis pas comme toi, je n'oserais jamais". Foutaise, à votre avis, vous pensez réellement que je suis plus apte qu'une autre à réaliser mes plus grands rêves, ou folies. Absolument pas. Tout ce mode de vie, de pensée, s'est déclenché la dernière fois que j'ai vu ma mère émettant encore un souffle sur cette planète. Ce jour là, j'ai tellement regretté de ne pas avoir pu lui dire Adieu, lui dire que je l'aimais, la remercier pour tt ce qu'elle m'a donné; je me suis promis de ne plus jamais regretter quoique ce soit. C'est pour cela, je le dis et redis " Je préfère avoir des remords que des regrets "; le fait de s'en donner les moyens de réaliser ses rêves, ses souhaits, permet de se surpasser sois même. Cette philosophie de vie m'a permit d'aller de plus en plus haut, en reprenant confiance en moi. Depuis ce jour, je n'ai plus jamais regretter quoique se soit; parfois quelques remords mais rien de grave. Jusqu'au jour, où j'ai pris conscience que plus rien n'était possible entre moi et Pierre. Voici, celui qui est en train de me faire briser cette promesse que je me suis faite; je le regrette tellement. Lui, son être, ses paroles, ses attentions, enfin Pierre tout simplement. Il me manques, j'ai besoin de lui. Ma mère est déjà si loin, je ne peux plus rien faire pour rattraper ce regret qu'elle m'a provoquer; mais lui est si proche, je le frôle chaque jour, je le vois vivre, sourir, rire...Que faire ? J'ai pourtant tt tenter, je n'arrive pas à me faire une raison. J'ai mal, si mal, il me hante, me dévore, m'abime, me détruit de l'intérieur, déterior ce que j'ai mis tant de temps à construire en moi, je suis épuisée...

    Voici une petite chanson de la rue Ketanou, qui me rend toute nostalgique, je me sens tellement vide sans lui...

    Sur les chemins de la bohême
    J'ai croisé le bout du monde
    Des p'tits matins au café crème
    Où je taxais ma première blonde
    Avant de partir le pouce en l'air
    A l'autre bout du bout du monde

    Sur les chemins de la bohême
    J'ai croisé la neige et le soleil
    Une fille qui m'a dit je t'aime
    Un soir où elle n'avait pas sommeil
    Avant de partir le coeur en l'air
    A l'autre bout du bout du monde

    Sur les chemins de la bohême
    J'ai parlé des langues étrangères
    Mes pas poursuivaient un poême
    Je me suis lavé à l'eau de mer
    Avant de chanter des mots en l'air
    Sur des musiques vagabondes

    Sur les chemins de la bohême
    On m'a chouravé ma guitare
    Un viel homme m'a donné la sienne
    En me racontant son histoire
    Et je lui dédierai cet air
    A l'autre bout du bout du monde


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  • Il y a peu de temps, je suis tombée complètement par hasard sur le blog d'une jeune femme très déjantée, ayant mit au point un nouveau concept d'interview sur le principe de ceux de monsieur Ardisson. Egocentrique comme je suis, je me suis pris au jeu, voici le résultat : http://www.blogg.org/blog-26273-date-2005-10-31-billet-230936.html

    Merci à toi, Marie, pour cet petit interview, qui m'a bien fait sourir durant quelques minutes. Bonne continuation sur blogland, et o faite, je n'oublis pas ce que je dois te léguer, dès que j'ai un moment, je redige un culte en ton honneur !


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